Mon bon monsieur qui va
Aveuglé par la complaisance
Des biens matériels qui ma foi
Augmentent l’estime de l’ignorance
Comment savoir qu’on ne sait rien
Lorsque tous sont perchés vers le bas
Attendant le divin sauveur
Les extirpant de leur calamité
Une société appauvrie de connaissance
Non pas de richesse économique
Fléau de l’humain aujourd’hui excentrique
Malade cherchant plus de performance
Le capital jamais assez là
Empêche les gens de constater
Qu’il y a quelqu’un tout près
Qui pleure de désespoir
Une société composée
D’êtres enfermés
Dans leur nombril qui jamais assez
N’est satisfait et cajolé
Monsieur nombril ici le monde
Il est temps d’ouvrir ton crâne
Pour y incérer une particule
Nommée conscience
Monsieur cravate attendez un peu
Vous jouez un jeu dangereux
Celui où tous sont des numéros
Et le gagnant est celui qui exploite trop
La vie a un prix
Calculé par la dose
De travail anticipé
Des zombies numériques
Un homme n’est plus vivant
Il ne sert qu’à produire
Sans savoir qu’il peut souffrir
Pleurer n’est rien, tout n’est qu’argent
Messieurs bureaucrates écoutez
Enfilez vos oreilles et vos yeux
Car il vous faut remarquer
Que le monde va s’écrouler
Pendant que les numéros travaillent
Il y a quelques humains abasourdis
Qui essaient de se battre
Contre cette machine tuant l’humanité
Le monde s’en va soufflant
Sur les quelques étincelles produisant
Des espoirs vains pour finalement
Travailler, dépérir et tout ignorer pour l’argent.
Aveuglé par la complaisance
Des biens matériels qui ma foi
Augmentent l’estime de l’ignorance
Comment savoir qu’on ne sait rien
Lorsque tous sont perchés vers le bas
Attendant le divin sauveur
Les extirpant de leur calamité
Une société appauvrie de connaissance
Non pas de richesse économique
Fléau de l’humain aujourd’hui excentrique
Malade cherchant plus de performance
Le capital jamais assez là
Empêche les gens de constater
Qu’il y a quelqu’un tout près
Qui pleure de désespoir
Une société composée
D’êtres enfermés
Dans leur nombril qui jamais assez
N’est satisfait et cajolé
Monsieur nombril ici le monde
Il est temps d’ouvrir ton crâne
Pour y incérer une particule
Nommée conscience
Monsieur cravate attendez un peu
Vous jouez un jeu dangereux
Celui où tous sont des numéros
Et le gagnant est celui qui exploite trop
La vie a un prix
Calculé par la dose
De travail anticipé
Des zombies numériques
Un homme n’est plus vivant
Il ne sert qu’à produire
Sans savoir qu’il peut souffrir
Pleurer n’est rien, tout n’est qu’argent
Messieurs bureaucrates écoutez
Enfilez vos oreilles et vos yeux
Car il vous faut remarquer
Que le monde va s’écrouler
Pendant que les numéros travaillent
Il y a quelques humains abasourdis
Qui essaient de se battre
Contre cette machine tuant l’humanité
Le monde s’en va soufflant
Sur les quelques étincelles produisant
Des espoirs vains pour finalement
Travailler, dépérir et tout ignorer pour l’argent.